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    Bonjour,

    En Charente , après un printemps très sec , un été aux nombreux arrosages vite évaporés , les pluies d’automne tardent à venir . Pendant que le 810 bouffeur d’eau refait surface , les sources meurent à petit feu et disparaissent en profondeur . Cela fait 6 mois qu’il ne sort plus de précieux liquide de vie à La Lèche ( ma source bien aimée ) . Les industries céréalières n’ont plus besoin de l’appui d’un ministre de l’agriculture française déchu de ses fonctions par les technocrates bruxellois. Elles vont pouvoir continuer le massacre des campagnes made in CEE .

       L'eau n'est pas une marchandise , mais ce n'est pas un bien gratuit . C'est un bien commun non appropriable.
    Mais ils oublient une chose , l’eau n’est pas un bien marchand , et le sol n’ont plus . L’eau , c’est le sang du sol et le sol c’est la peau de la terre . Déroger à cette règle de vie , en bricolant avec " la gégène" pour soutirer à Dame Nature ses secrets bien gardés  , le retour du bâton va être cinglant .

        Messieurs les agro-céréaliers , n’oubliez jamais qu’une folle avoine est rebelle . Elle sait mieux manipuler ses gènes pour s’adapter , que vous à jouer sans gêne avec les gènes pour la survie de vos deniers .

    Bonne Journée  


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                  " il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes

                                       pour les résoudre "                Albert Einstein


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  • " Un sot ne voit pas le même arbre qu'un sage "

                                                    William Blake

     

     


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  •   Un lutin des bois a déposé ses biscuits " LU " sur le tronc d’un arbre .

    Petit chaperon rouge si vous passez par là , cueillez ce bouquet

    de parapluies parfumés pour coiffer les Catherinettes .


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  • Bonjour ,

      

    * Ces derniers jours dans ma rue , les rois du réglisse pétrolier sont entrés dans la danse . Premier acte : Un canard "rabot" doté d’un dinosaure rappeur mange à pleines dents le vieux tapis de sol gris usé par les trop nombreux passages de nos automobiles citadines . Ensuite des cordonniers réparent ça et là quelques bordures de trottoirs affaissées par les trop nombreux passages de camions pourtant interdits de circulation en ce quartier dit résidentiel .

     

    Acte second : des canards tapis noir alimentent par camions bennes une drôle de moissonneuse à gueule noire qui déglutie avec beaucoup de délicatesse l'enrobé nouveau . Immédiatement derrière un bruyant canard "Kinésithérapeute" à l’aide d’un rouleau compresseur égalisateur fait subir au feutre ébène nouvellement tissé une torture de compression en faisant vibrer par la même occasion les maisons alentours . Toutes ces opérations se déroulent dans un bruit infernal digne des temps modernes à la Charlie Chaplin dans une usine de fabrication automobiles des années 1960                                                                                                      .

     

    Mais acte trois : le résultat en valait bien la chandelle ; ma rue a fait peau neuve et dès demain le flot "automobilus" sera fier d’écraser ce bel asphalte sorti d’un four et ce soir encore tout chaud . Bravo à ces hommes de la route , qui  , chaque jour , travaillent dans la poussière , la chaleur , le bruit et les vapeurs nocives pour les bronches afin d’assurer le confort de nos déplacements routiers . Merci à ces gens, si peu considérés et pourtant indispensables à notre société                                                   .

     

     

     


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