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Questionnement aposématique
Quand sur ma palette de couleurs, je n’ai plus d’outre-mer azuréen du Cap-Martin, je le remplace par du Vermillon de coquelicots de Vinadio. Si je n’ai plus de couleur à badigeonner dans mon cerveau, je me rabats sur le noir anthracite et le blanc cassé du col de Bonnette.
La liberté de penser est à l’image de la toile "Guernica" de Pablo . Rien ni personne ne peut percer nos pensées d’un jour, d’une nuit, d’une vie. Le digicode est trop complexe à découvrir même en analyse séquentielle de génomes.
Oh! mystérieux Créateur de la planète Terre, poussière céleste, grain de sable de l’univers, aux rouages si bien huilés d’espaces sidéraux. Pourquoi dans ce potage de matières inertes, sans vie, sans cesse remué à la louche jusqu’aux confins de frontières invisibles et sans barbelés, avez-vous par alchimie sublimé la vie et ses pensées impalpables sur ce grain de poussière Terre, fragile îlot d‘accueil dans un vaste océan d‘hostilités?
C’est trop vous approcher sans doute, Maître des cieux…
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Commentaires
L'humain ne sait que se détruire et détruire son environnement.. comment cette intelligence a pu être à ce point détournée ?
Bonjour et oui que voilà ce qui se passe maintenant que de la tristesse pour la nature c'est bien dommage bon dimanche bisou Claudine Daniel
beau texte, merci pour ton com
suis un peu débordée c'est vrai mais j'avance un peu tous les jours et n oublies pas de me reposer car sinon je ne tiendrai pas
Bonne fin de dimanche bises à tous les deux Cathline
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On suppose que c'est le propre de l'homme (mais pas sûr!) et c’est bien dommage qu'il en fasse parfois si mauvais usage !